À propos du SSRC
Le Système de surveillance de la rivière Chaudière (SSRC) a été mis en place en 2009. Son objectif est de suivre les niveaux et les débits d'eau de la rivière Chaudière et de ses tributaires pour faciliter le travail des municipalités lorsqu'il y a des inondations. Le SSRC vient ainsi faciliter l'échange d'informations entre les municipalités riveraines de la rivière Chaudière. Les décisions sont alors prises de façon plus éclairée.
Concrètement, le SSRC est une plateforme donnant accès à des données et des images en temps réel (rafraîchissement aux 30 secondes). Il permet ainsi de surveiller le comportement de la rivière Chaudière dans des secteurs vulnérables aux inondations. Accessible au grand public, le SSRC comporte également un accès sécurisé qui est réservé aux intervenants d'urgence.
Depuis 2015, les citoyens peuvent s'abonner au SSRC pour recevoir des alertes. Ils peuvent ainsi être facilement informés lorsqu'un niveau de risque est atteint. Il permet également aux gestionnaires de station, soit les municipalités, d'envoyer des messages spécifiques aux abonnés pour les tenir informés.
Coordination du SSRC
Le SSRC est coordonné par le Comité de bassin de la rivière Chaudière (COBARIC). Il est le fruit d'un travail de concertation et d'harmonisation entre les municipalités riveraines, le COBARIC, certains ministères ainsi que des entreprises privées. Tous sont concernés par les niveaux et débits d'eau de la rivière, tout comme par les inondations.
Propriétaires du SSRC et partenaires
Le SSRC est la propriété des municipalités riveraines, soit Saint-Georges, Notre-dame-des-Pins, Beauceville, Saint-Joseph-de-Beauce, Vallée-Jonction, Sainte-Marie, Scott, Saint-Lambert-de-Lauzon, Saint-Patrice-de-Beaurivage, Saint-Gilles et Lévis. Plusieurs organisations ont participé financièrement aux différentes phases du Système de surveillance de la rivière Chaudière : la Conférence régionale des élus de la Chaudière-Appalaches, Innergex énergie renouvelable ainsi que le ministère de la Sécurité publique et le ministère des Transports et de la Mobilité durable.
